Jour 3 : Lundi 14 mai 2012 : de Passagio di Bettona à Valtopina
Après deux étapes de transition, j'aborde enfin la montagne, en commençant par le massif sur lequel est appuyée la ville d'Assise. Voilà qui me change du vallonnement de la campagne Toscane. Je suis en Ombrie, et je dois descendre (tout en montant d'ailleurs à vers les Abruzzes avec plusieurs passages dans le Lazzio.
Départ rapide et sec de mon local à bascule. Je n’ai pas à
plier la tente, mais seulement à ranger mon sac et c’est le départ. Je
retraverse le Fiume Chiascio et trouve le Pecorso verde ( Parcours vert )qui doit m’approcher
d’Assise et contourner Bastia Umbra, relativement Industrialisé.
Longeant la rivière qui coule bien, le chemin s’avère très
agréable et particulièrement bien entretenu et même agrémenté d’agrès.
Je ne tarde pas à approcher d’Assise, même si je dois quitter le sentier qui finit par disparaître au profit de la route, finalement je vais couper à travers champs pour atteindre la montée vers la ville qui doit m’éviter des lacets. La montée est rapide et me voilà déjà sur la place devant l’église San Francisco.
Je déambule en ville, prenant quelques photos,( et quelques achats, dont notamment une croix de Saint François, le Taux franciscain que je ne quitterai plus ) je vais même prendre un café et manger des pâtisseries, avant de m’apprêter à repartir.
Le temps ne s‘est pas vraiment réchauffé sur la hauteur du promontoire, et la montée vers le monte Subasio qui culmine la région avec ses 1290m ne vas se faire sous la chaleur.
Je ne tarde pas à approcher d’Assise, même si je dois quitter le sentier qui finit par disparaître au profit de la route, finalement je vais couper à travers champs pour atteindre la montée vers la ville qui doit m’éviter des lacets. La montée est rapide et me voilà déjà sur la place devant l’église San Francisco.
Je déambule en ville, prenant quelques photos,( et quelques achats, dont notamment une croix de Saint François, le Taux franciscain que je ne quitterai plus ) je vais même prendre un café et manger des pâtisseries, avant de m’apprêter à repartir.
Le temps ne s‘est pas vraiment réchauffé sur la hauteur du promontoire, et la montée vers le monte Subasio qui culmine la région avec ses 1290m ne vas se faire sous la chaleur.
C’est aussi ma première grosse montée et la première partie
est éprouvante. Je vais reprendre des forces à la pause déjeuner juste au dessus
d’Eremo delle Carceri, une sorte d’ermitage coincé au fond d’un étroit vallon.
La deuxième partie, plus accidentée le long du vallon me fera arriver assez
rapidement au niveau du refuge de Valonico, en fait une maison forestière qui
est fermée.
Le balisage est correct, il faut suivre le sentier N° 50, et me voilà bientôt en haut sur le dôme du massif. Le vent souffle avec violence, et ce n’est pas la sculpture du vent qui me contredira, en plus il est glacial.
Je ne vais rester plus longtemps et je commence la descente, en suivant le sentier N° 57 vers Valtopina, et c’est là que les choses se compliquent car le sentier disparaît dans les herbages d’altitude et je dois m’orienter au feeling dans la descente.
Rapidement, un peu plus bas, je retrouve le sentier.
Il me faut marcher deux heures et demi avant d’atteindre Valtopina en fond de vallée, que je traverse aussitôt afin de remonter sur les collines d’en face afin de m’approcher le plus possible de Santa Cristina, où j’espère trouver des coins de bivouac. Malheureusement, je me trompe de montée et prends une montée qui passe par un quartier résidentiel. Finalement, même si je me suis rallongé, je ne suis pas si loin de santa Cristina et je vais m’installer au sommet d’une colline dans une coupe de bois, où l’herbe n’est pas trop haute et l’emplacement relativement plan. Mais il ne fait pas si chaud cette nuit et j’ai pas vraiment chaud.
( Assise au fond )
Le balisage est correct, il faut suivre le sentier N° 50, et me voilà bientôt en haut sur le dôme du massif. Le vent souffle avec violence, et ce n’est pas la sculpture du vent qui me contredira, en plus il est glacial.
Je ne vais rester plus longtemps et je commence la descente, en suivant le sentier N° 57 vers Valtopina, et c’est là que les choses se compliquent car le sentier disparaît dans les herbages d’altitude et je dois m’orienter au feeling dans la descente.
Rapidement, un peu plus bas, je retrouve le sentier.
Il me faut marcher deux heures et demi avant d’atteindre Valtopina en fond de vallée, que je traverse aussitôt afin de remonter sur les collines d’en face afin de m’approcher le plus possible de Santa Cristina, où j’espère trouver des coins de bivouac. Malheureusement, je me trompe de montée et prends une montée qui passe par un quartier résidentiel. Finalement, même si je me suis rallongé, je ne suis pas si loin de santa Cristina et je vais m’installer au sommet d’une colline dans une coupe de bois, où l’herbe n’est pas trop haute et l’emplacement relativement plan. Mais il ne fait pas si chaud cette nuit et j’ai pas vraiment chaud.
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